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L’oiseau d’or

Conte de Grimm traduit par cdf
Bruitages & Musiques
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Conte pour petits et grands à partir de 6 ans.

Temps de lecture : 17 minutes

 

Il y a fort longtemps, il y avait un roi qui avait un joli jardin autour de son palais, et il y avait, dans ce jardin, un arbre qui portait des pommes d’or.

Quand les pommes furent presque mûres, on les compta, mais dès le lendemain matin, il en manquait une.

Cela fut rapporté au roi, qui commanda qu’une garde fut organisée tous les soirs sous l’arbre.

Le roi avait trois fils, et il envoya l’aîné dans le jardin à la tombée de la nuit ; mais à minuit, celui-ci succomba au sommeil et le matin il manquait une autre pomme.

La nuit suivante, le deuxième fils devait monter la garde, mais il ne fit pas mieux. Quand l’horloge sonna minuit, lui aussi s’était profondément endormi, et le matin une troisième pomme avait disparu.

Le tour de garde suivant fut donc celui du troisième fils. Il était tout à fait prêt, mais le roi n’avait guère confiance en lui, et pensait qu’il réussirait encore moins que ses frères.

Enfin, il finit par lui donner sa permission ; le jeune homme se coucha donc sous l’arbre pour surveiller, déterminé à ne pas se laisser prendre par le sommeil.

Lorsque l’horloge sonna minuit, il y eut un bruissement dans l’air, et à la lumière de la lune, il vit un oiseau dont les plumes étaient d’or pur étincelant. L’Oiseau se posa sur l’arbre. Il venait de cueillir une pomme d’or et la tenait dans son bec.

Alors le jeune prince brandit son arc et lui tira une flèche.

L’oiseau s’envola, mais la flèche avait touché son aile et l’une des plumes dorées tomba au sol.

Le Prince la ramassa et le matin l’apporta au roi en lui racontant tout ce qu’il avait vu dans la nuit.

Le roi rassembla son conseil, et tout le monde déclara qu’une telle plume valait plus que tout le royaume.

« Si la plume vaut tant, dit le roi, cela ne me suffit pas; il me faut l’oiseau tout entier.

L’aîné des trois princes partit à la recherche de l’Oiseau, certain de le trouver bientôt.

Quand il eut parcouru un bon bout de chemin, il vit un renard assis à l’orée d’un bois ; il leva son fusil et le visa.

Mais le renard s’écria :

« Beau Prince! Ne me tirez pas dessus, et je vous donnerai un bon conseil pour chercher l’Oiseau d’Or ;
En continuant ce chemin, vous arriverez dans un village à la tombée de la nuit, où vous trouverez deux auberges se faisant face. L’une brillera de tous ses feux allumés, pleine de bruit et de réjouissances.
Assurez-vous de ne pas choisir celle-là, mais allez dans l’autre, même si vous n’aimez guère son apparence.

« Comment un animal stupide pourrait-il me donner de bons conseils ? » Pensa le fils du roi, et il appuya sur la gâchette, mais manqua
le Renard, qui tourna la queue et s’enfuit dans les bois.

Alors le Prince continua son voyage, et la nuit arrivée, il atteignit le village avec ses deux auberges.
On chantait et on dansait dans l’une, et l’autre avait un aspect misérable et délabré.

« Je serais un imbécile, dit-il, de choisir ce lieu misérable alors que l’autre a l’air si bon. »

Alors il se laissa happer par le bruit et la fête et vécut ainsi, oubliant l’Oiseau, son père, et tout ce qu’il avait appris.

Quand un certain temps se fut écoulé et que le fils aîné ne revenait pas, le second se déclara prêt à partir à la recherche de l’Oiseau d’or.

Il se mit en route et rencontra le Renard, comme l’avait fait le fils aîné, et celui-ci lui donna le même conseil, auquel il prêta aussi peu d’attention.

Il arriva aux deux auberges et vit son frère debout à la fenêtre de celle d’où partaient des bruits de réjouissances.

Il ne put résister à l’appel de son frère, alors il entra et se livra à une vie de plaisir.

Après quelque temps, et le plus jeune fils du roi voulut partir tenter sa chance; mais son père ne voulait pas le laisser partir.

« C’est inutile, dit-il. Il ne saura sûrement pas trouver l’Oiseau d’Or plus que ses frères, et en cas de malheur, il ne pourra pas se tirer d’affaires tout seul. Il est à peine sorti du bercail. »

Mais comme le jeune prince insistait et ne le laissait pas en paix, il le laissa finalement partir.

Cette fois encore, le Renard s’assit à l’orée du bois, supplia pour sa vie, et prodigua ses bons conseils.

Le prince était de bonne humeur, et lui dit :
« Calme-toi, petit Renard, je ne te ferai aucun mal. »
« Vous ne vous en repentirez pas, répondit le Renard ; et pour que vous puissiez aller plus vite, venez vous asseoir sur ma queue. »

A peine s’était-il assis que le Renard se mit à courir, et ils volèrent au-dessus des bois et des terres, si vite, que ses cheveux sifflaient au vent.

 

 

Arrivé au village, le prince mit pied à terre et, suivant les bons conseils du Renard, il se rendit directement à l’auberge silencieuse sans regarder l’autre, et il y passa une nuit paisible.

Le matin, quand il arriva dans les champs, le Renard l’attendait tranquillement et il lui dit :

« Je vais maintenant vous dire ce que vous devrez faire ensuite. Marchez tout droit jusqu’à ce que vous arriviez à un château, devant lequel tout un régiment de soldats est campé. N’ayez pas peur d’eux ; ils seront tous endormis en train de ronfler. Marchez au milieu d’eux et entrez directement dans le château. Traversez toutes les chambres, jusqu’à atteindre une pièce où vous trouverez l’oiseau d’or enfermé dans une cage en bois commune. Une cage dorée se tient à côté, mais attention ! Surtout, ne changez pas l’oiseau de cage! »

Sur ces mots, le Renard allongea de nouveau la queue, le Prince prit place dessus, et ils volèrent au-dessus des bois et des terres, jusqu’à ce que ses cheveux sifflent dans le vent.

Arrivé au château, il trouva tout comme l’avait dit le Renard.

Le Prince se rendit dans la pièce où était l’Oiseau d’Or, dans sa cage en bois, avec la cage dorée à côté, et il aperçut également les trois pommes d’or, éparpillées dans la pièce.

Il pensa alors qu’il était absurde de laisser le bel oiseau dans la vieille cage commune, alors il ouvrit la porte, l’attrapa et le mit dans la cage dorée.
Mais alors qu’il faisait cela, l’Oiseau poussa un cri perçant.

À ce cri, les soldats se réveillèrent, accoururent et l’emmenèrent en prison.

Le lendemain matin, il fut amené devant le roi du pays pour être jugé, et, comme il avoua tout, il fut condamné à mort.

Le roi, cependant, lui dit qu’il lui laisserait la vie sauve à une seule condition: il devait lui apporter le Cheval d’or qui court plus vite que le vent.

De plus, il lui promit que s’il y parvenait, il aurait l’oiseau d’or pour récompense.

C’est ainsi que le prince partit, bien triste et désespéré, ne sachant pas du tout comment il allait trouver ce cheval d’or.

Puis soudain il vit son ami le Renard assis sur le bord de la route.
« Maintenant, vous voyez bien, dit le Renard, tout cela est arrivé parce que vous ne m’avez pas écouté. Mais reprenez vos esprits et votre courage. Je vais vous aidez encore et vous dire comment trouver le Cheval d’or. Vous devez continuer tout droit le long de la route, et vous arriverez à un palais, dans l’écurie duquel vous trouverez le Cheval d’or. Les palefreniers seront couchés autour de l’écurie, mais ils
dormiront profondément et ronfleront, et vous pourrez guider le cheval à travers eux sans crainte.
Il y a seulement une chose dont vous devrez vous méfier: Mettez sur le cheval la vieille selle de bois et de cuir, et non la dorée suspendue à proximité, sans quoi vous le regretterez. »

Alors le Renard allongea sa queue, le Prince s’assit, et ils volèrent au-dessus des bois et des terres, jusqu’à ce que ses cheveux sifflent dans le vent.

Tout se passa exactement comme le renard l’avait prédit. Le Prince arriva à l’écurie où se tenait le cheval d’or, mais alors qu’il était sur le point de mettre la vieille selle sur son dos, il pensa:
« Un si bel animal sera déshonoré si je ne lui mets pas la belle selle, comme il le mérite. »

À peine la selle d’or avait-elle touché le cheval qu’il commença à hennir bruyamment. Les palefreniers se réveillèrent, saisir le prince et le jetèrent dans un obscur cachot en haut du donjon.

Le lendemain matin, il fut emmené devant le roi pour être à nouveau jugé, et condamné à mort ; mais le roi promit de lui laisser la vie sauve, et de lui donner aussi le cheval d’or, s’il pouvait lui apporter la belle princesse du palais d’or.

Le cœur lourd, le prince se remit en route, mais à sa grande joie il retrouva le fidèle Renard.

« Je devrais vous abandonner à votre sort, dit celui-ci. Mais j’ai pitié de vous et je vais encore une fois vous tirer d’affaires.

Cette route mène tout droit au palais d’or, que vous atteindrez au soir. Une fois la nuit bien avancée, quand tout sera calme, la belle princesse ira à la salle de bain pour prendre un bain.

Avant qu’elle n’entre dans son bain, vous la surprendrez en lui donnant un baiser, et elle vous suivra. Emmenez-la avec vous. Mais surtout ne la laissez en aucun cas dire au revoir à ses parents, sinon il vous arrivera malheur. »

De nouveau le Renard étendit la queue, le Prince s’assis dessus, et ils volèrent au-dessus des bois et des terres, jusqu’à ce que ses cheveux sifflent au vent.

Quand il arriva au palais, tout fut exactement comme le renard l’avait dit.

Il attendit jusqu’à minuit, et quand tout le palais fut endormi, la jeune fille alla prendre son bain. Alors il s’élança et lui donna un baiser. Elle lui dit qu’elle voulait bien l’accompagner, mais elle le supplia de lui laisser dire au revoir à ses parents.

Il refusa d’abord ; mais comme elle pleurait en se jetant à ses pieds, il la laissa finalement aller.

À peine la jeune fille s’avança-t-elle vers le lit de son père, qu’il se réveilla ainsi que tous les occupants du palais.

Le prince fut saisi, et jeté en prison.

Le lendemain matin, le roi lui dit :

« Votre vie est terminée, à moins que vous ne rasiez la montagne qui est devant ma fenêtre et me gâche la vue. Ceci doit être fait sous huit jours, et si vous y parvenez, vous aurez ma fille en récompense. »

Alors le prince se mit à la tâche, et il creusa, piocha et pelleta jour et nuit. Le septième jour, quand il vit le peu qu’il avait avancé, il devint très triste et abandonna tout espoir.

Cependant, au soir, le Renard apparut et lui dit: « Vous ne méritez vraiment aucune aide de ma part, mais bon, couchez-vous et reposez-vous ;
Je ferai le travail. »

Le matin quand il se réveilla et regarda par la fenêtre, la montagne avait disparu.

Fou de joie, le prince se précipita chez le roi et lui dit qu’il avait accompli sa part du marché et , et, qu’il devait lui donner sa fille.

Alors ils partirent tous les deux ensemble, et bientôt le fidèle Renard les rejoignit:

« Vous avez certainement la récompense de toutes, dit-il ; mais à la jeune fille du palais d’or devrait revenir le cheval d’or. »

« Comment puis-je l’obtenir ? demanda le Prince.

« Oh ! Je vais vous le dire, répondit le Renard. Apportez d’abord la belle Demoiselle au Roi qui vous a envoyé au palais d’or. Il aura une grande joie en vous voyant arriver, et ils vous apportera le cheval d’or.

Montez-le immédiatement, et serrez la main à tout le monde en guise d’adieux, en laissant en dernier lieu la belle jeune fille.

Quand vous arriverez à son tour, serrez-lui fermement la main, et soulevez-là derrière vous sur le cheval avant de talonner celui-ci pour qu’il parte au galop.

Personne ne pourra te rattraper, car ce cheval courre plus vite que le vent. »

Le prince mit le plan à exécution et tout se passa comme prévu. Il se retrouvèrent la belle jeune fille et lui, assis sur le cheval d’or qui filait comme le vent.

 

 

Le renard n’était pas loin, et il dit au prince :

« Maintenant, je vous aiderai également à obtenir l’oiseau d’or. Quand vous approcherez du château, laissez la jeune fille descendre et s’abriter à mes côtés

Alors galopez avec le cheval d’or jusque dans la cour du château ;
Ils vous feront fête en vous voyant et le roi vous fera donner l’oiseau d’or.

Dès que vous aurez la cage dans votre main, revenez vers nous au galop et reprenez la jeune femme.

Le jeune prince suivit les conseils du fidèle Renard, et lorsqu’il revint victorieux de cette nouvelle épreuve et fut prêt pour repartir avec tous ses trésors, le Renard lui dit :

« Maintenant, vous devez me récompenser pour mon aide. »

« Quelle récompense attends-tu de moi? demanda le Prince.

« Quand tu atteindras ce bois, dit le renard, tue-moi et coupe-moi la tête et les pattes. »

« Mais ce n’est pas une récompense ! dit le Prince. Je ne peux pas promettre de commettre un tel crime ! »

Le Renard répondit:

« Bien, mais si vous ne pouvez le faire, alors je dois vous quitter; mais avant que je m’en aille, je vais vous donner quelques conseils supplémentaires. Faîtes bien attention à ces deux choses:
Ne rachetez pas de prisonniers, et ne vous asseyez pas au bord d’un puits. »

Et sur ces mots, il s’enfuit dans les bois.

Le prince pensa :

« C’est définitivement un animal bien étrange que ce renard; quelles drôles d’idées Pourquoi diable irai-je racheter des prisonniers ! Et l’envie de m’asseoir au bord d’un puits ne m’a encore jamais saisi ! »

 

 

Il remonta à cheval avec la belle princesse derrière lui, et la route les ramena au village où ses deux frères étaient restés.
Il y avait là un grand brouhaha, et quand il demanda ce qu’il se passait, on lui répondit que deux hommes allaient être pendus.

Quand il s’approcha, il vit que c’étaient ses deux frères, qui avaient dilapidé leurs biens et commis toutes sortes de crimes.

Il demanda s’il y avait un moyen de les libérer.

« Oui, si vous voulez les racheter, répondirent les villageois. Mais pourquoi gaspilleriez-vous votre argent en payant pour de si vils personnages ? »

Il ne s’arrêta pas pour réfléchir, et paya la rançon, et quand ils furent libérés, ils partirent tous ensemble.

Ils arrivèrent au bois où ils avaient rencontré le Renard pour la première fois. Il faisait délicieusement frais sous les arbres, tandis que le soleil frappait dur dans la plaine. Alors les deux frères dirent :

« Asseyons-nous ici près de ce puits un moment pour nous reposer un peu, manger et boire. »

Le Prince accepta et alors qu’il conversait avec ses compagnons, il oublia les conseils du renard, et s’assit sur le rebord du puits.

Alors ses deux frères le poussèrent et il tomba au fond. Ses cruels frères rentrèrent chez leur père, emmenant avec eux la jeune fille, le cheval et l’oiseau.

« Père ! Dirent-ils une fois au château, nous vous apportons non seulement l’oiseau d’or, mais aussi le cheval d’or, et la jeune fille du palais d’or ! »

Leur père se réjouit grandement de tous ces trésors ; mais il se rendit rapidement compte que le Cheval ne voulait pas manger, l’oiseau ne chantait pas, et la jeune fille restait assise à pleurer toute la journée.

Le plus jeune frère n’avait pas péri, car heureusement le puits était sec, et il tomba sur de la mousse molle sans se faire mal ; Cependant, il ne pouvait pas sortir.

Par chance, le fidèle Renard ne l’avait pas abandonné, et il vint lui porter secours en le grondant de n’avoir, une fois encore, pas suivi son conseil.

« Je ne peux pourtant pas vous abandonner à votre sinistre sort ; Je vais vous aider à revenir à la lumière du jour. »

Il lui dit alors de saisir fermement sa queue, puis il le hissa vers le haut.

« Vous n’êtes pas encore hors de danger, dit-il. N’étant pas sûrs de votre mort, vos frères ont placé des guetteurs partout dans le bois pour vous tuer dès qu’ils vous voient. »

Un pauvre vieillard était assis au bord de la route, et le prince échangea ses vêtements avec lui, et par ce moyen il réussit à revenir à la cour du roi sans être reconnu.

Personne au château ne le reconnut non plus, sauf que l’oiseau se mit à chanter, le cheval commença à manger et la belle jeune fille s’arrêta de pleurer.

Étonné, le roi demanda :

« Qu’est-ce que tout cela veut donc dire ? »

La Jeune fille lui répondit :

« Je ne sais pas; mais j’étais très triste, et maintenant je suis gaie. Il me semble que le jeune prince, mon véritable fiancé, doit être revenu. »

Et elle raconta au roi tout ce qui s’était passé, bien que les deux frères l’eussent menacée de mort si elle les dénonçait.

Le roi ordonna alors à ses gardes de lui amener chaque personne présente dans le palais. Parmi eux il y avait le prince déguisé en vieil homme avec ses haillons. La jeune fille le reconnut immédiatement et se jeta à son cou.

Les méchants frères furent saisis et mis à mort.

Le prince épousa la belle jeune fille et fut proclamé héritier du royaume.

Mais qu’était devenu le pauvre Renard ?

Longtemps après, le prince sortit un jour dans les champs, et rencontra le Renard, qui lui dit :

«Tu as eu tout ce que tu pouvais désirer, mais mon malheur est resté inchangé. Il est toujours en ton pouvoir de me libérer. »

Et de nouveau il supplia le prince de lui donner la mort, et de lui couper la tête et les pattes.

Enfin le prince consentit à faire ce qu’il demandait, et aussitôt tué, le Renard fut changé en homme bien vivant ; Et cet homme n’était nul autre que le frère de sa belle épouse, enfin libéré d’un maléfice qui pesait depuis si longtemps sur lui.

Rien ne manquait plus maintenant à leur bonheur et ils vécurent heureux de tres nombreuses années.

 

Traduction par contesdedees.com (Roland Beaussant) depuis la traduction anglaise de Mrs Edgar Lucas

Illustration de Arthur Rackham et autre inconnu

FIN

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